Lylou.Anne Collection: Table Blanche Rose et Rose Rouge

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D'autre part,
concernant
mes commentaires
sur vos blogs,
je m'efforce d'être présente
le plus possible.
Mais jamais le dimanche, c'est repos !

Pour mes copinautes
qui publient chaque jour je ferai au mieux
et pour celles qui publient parfois
2 ou 3 billets par jour,
je suis désolée,
je ne pourrai commenter
qu'un seul billet.
En revanche,
je les lirai tous.
Merci de votre compréhension.
LylouAnne

12.9.10

Table Blanche Rose et Rose Rouge

Dans la cadre du défi Conte de fée
organisé par Dom - Les Tables de Dom,
j'ai le plaisir de vous dévoiler
ma table Blanche-Rose et Rose-Rouge,
inspirée d'un conte de Grimm.

~~~~~~

Quelques           semaines après, tandis que les fillettes allaient             ramasser du petit bois dans la forêt, elles         rencontrèrent,   sur   un arbre abattu, un nain tout ridé         dont la longue barbe    blanche  était prise dans une fente.         Il sautait de droite et de    gauche  sans pouvoir se tirer         de ce mauvais pas. - Pourquoi me regarder de la sorte ? vous feriez         mieux de  m’aider, lança-t-il aux fillettes. - Que fais-tu là ? répliqua Rose-Rouge. -  Sotte que tu es ! Curieuse ! En coupant du         bois en très     petits morceaux, j’ai coincé ma belle         barbe. Me voilà bien pris    !  Je ne peux plus         m’en aller ! Cela vous fait rire, visages  de            cire ! Fi donc ! Comme vous êtes         vilaines ! - Je cours chercher de l’aide, s’exclama         Rose-Rouge. - Tête de linotte ! grogna le nain.         N’êtes-vous pas assez  grandes pour me tirer de         là ? - Prenez patience, dit Blanche-Rose en fouillant dans ses          poches. Elle exhiba une paire de ciseaux et se mit à couper le         bout de  la barbe. A peine libéré, le nain prit le sac caché entre les         racines de  l’arbre et ronchonna : - Qu’elles sont stupides ! Avoir coupé ma si         belle barbe ! Il  jeta le sac sur ses épaules et s’en alla sans un         mot de     remerciement.         A         quelque temps de là, les deux  fillettes    voulurent         pêcher des poissons. Elles allaient  s’installer            près du ruisseau, quand, sur la rive, elles  aperçurent,           qui  sautait dans tous les sens, une sorte de grosse            sauterelle. En  s’approchant, elles reconnurent le          nain.   Rose-Rouge, étonnée le  questionna : - Veux-tu sauter dans le ruisseau ? - Sotte, je ne suis pas si bête. Mais voyez ce poisson         de  malheur ... Le  nain en pêchant avait pris sa barbe dans la         ligne ; un     poisson énorme pris l’hameçon         allait entraîner la faible     créature qui n’avait         pas la force suffisante pour se tirer     d’affaire. Il         se cramponnait à toutes le tiges, à tous les brins             d’osier, mais il ne pouvait plus lutter. Barbe et          fil    étaient si entremêlés que la seule solution était         de  couper  un   peu plus la belle barbe blanche. Libéré,         le nain  s’écria : - Mes pauvres filles, vous êtes toujours aussi sottes et         laides ;  me voilà dans un bel état ! Puis,  ramassant un sac de perles fines dissimulé dans         les    roseaux,  il disparut derrière une pierre.         Quelques           jours   passèrent. La maman eut besoin de fil,         d’aiguilles, de     dentelles et de rubans ; elle         envoya ses filles à la ville,  chez    la mercière. Le         chemin qu’elles devaient prendre passait  par    une         clairière semée de rochers. Comme elles             l’atteignaient, les fillettes virent dans le ciel un         grand     oiseau qui tournoyait lentement, dans un long vol         plané.     Soudain, il s’abattit sur le sol. Elles         entendirent un cri de     douleur. S’étant approchées, elles reconnurent avec effroi            leur  vieille rencontre, le nain, qu’un aigle avait         saisir   dans  ses  serres et allait emporter.         Courageusement, les deux    enfants  se saisirent d’un         bâton et se précipitèrent à son    secours.  Elles se         battirent tant et tant pour arracher le petit    homme  aux         serres de l’oiseau qu’à la fin, elles             vainquirent. Tout juste remis de sa peur, le nain glapit : - Vous  avez déchiré mon bel habit. Vous êtes toujours         aussi    sottes et  maladroites, et toujours aussi laides,         tout juste    bonnes pour  aller au diable ! Chargeant alors sur son dos un   sac de pierres  précieuses         qui  se trouvait derrière un gros   rocher, il se  faufila         dans une  crevasse ouverte dans le sol.Les   fillettes,          habituées à cette  ingratitude, ne s’émurent pas           outre  mesure, et continuèrent  leur chemin jusqu'à la         ville.            Le         soir, en  revenant, elles prirent le même sentier            qu’au matin ; elles  surprirent le nain en         contemplation   devant  les pierres  précieuses qu’il         avait vidées de son sac et   qui  éclataient de  mille feux         aux lueurs du couchant.   Emerveillées,  elles          s’arrêtèrent : -Vous ne savez que bayer aux corneilles,         décidément ! jeta le  nain, tout rouge. Partez         d’ici ! Et, tandis qu’il criait sa colère, un grand ours         brun sortit  pesamment des buissons. Le nain, fou de terreur, fit un saut en arrière en         hurlant : -  Monsieur l’ours, laissez-moi la vie ; je vous         donne   toutes   ces pierres précieuses. Je suis tout petit,         si chétif.   Voyez   ces deux fillettes, grasses comme des         oies. Elles feront   bien   mieux votre affaire.         D’un         seul coup de patte, sans     autre forme de procès,         l’ours supprima le méchant nain pour     toujours. Les         deux sœurs affolées allaient s’enfuir quand             l’ours murmura :   <a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e)  {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0003ABN2B8lcz3P77D2lEZTQRjz70x9I44WoQ9Cw9m2EE84i9YnTviFsYllWIzaprLZXTAZJUUFus_Nu2BrVIcEc2fOtBqVeVDXnrgOqsTbx_z6dNIK6h6-tdj0i38ohsusYf7zcqM64/s1600/031.JPG"><img style="display: block; margin: 0px auto 10px; text-align: center;  cursor: pointer; width: 400px; height: 300px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0003ABN2B8lcz3P77D2lEZTQRjz70x9I44WoQ9Cw9m2EE84i9YnTviFsYllWIzaprLZXTAZJUUFus_Nu2BrVIcEc2fOtBqVeVDXnrgOqsTbx_z6dNIK6h6-tdj0i38ohsusYf7zcqM64/s400/031.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516078612400944258" border="0" /></a> <a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e)  {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiA051XaRDQNsqWspJ315D2zO_kGdYeQH0KVohYWXpy2C1vGk3WviUYiLidKaHGLOTzSEWVO5-Q1C4GmWYFyGQbxYRWFfo2rt3eBYlQeeT2zDwI_xSmnCc9RDQGeG2z6CxMeOfRjSK7J7A/s1600/029.JPG"><img style="display: block; margin: 0px auto 10px; text-align: center;  cursor: pointer; width: 400px; height: 300px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiA051XaRDQNsqWspJ315D2zO_kGdYeQH0KVohYWXpy2C1vGk3WviUYiLidKaHGLOTzSEWVO5-Q1C4GmWYFyGQbxYRWFfo2rt3eBYlQeeT2zDwI_xSmnCc9RDQGeG2z6CxMeOfRjSK7J7A/s400/029.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516078599015481522" border="0" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGov_0_NiLlb9EcBhYG9YBk7hDKdBdNwSeAYXtmBtI8At2J4wbac8hbJNvvoZ9msrTmhgck-unTdirYqOJyQ6wqQNoinHZmpBEtDHBj10mVbJndv7c8FjO7wrNjxR6F9Fgk_q9QBDR-kg/s1600/034.JPG"><img style="display: block; margin: 0px auto 10px; text-align: center;  cursor: pointer; width: 300px; height: 400px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGov_0_NiLlb9EcBhYG9YBk7hDKdBdNwSeAYXtmBtI8At2J4wbac8hbJNvvoZ9msrTmhgck-unTdirYqOJyQ6wqQNoinHZmpBEtDHBj10mVbJndv7c8FjO7wrNjxR6F9Fgk_q9QBDR-kg/s400/034.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516080231724323234" border="0" /></a> - Blanche-Rose, Rose-Rouge, je suis votre ami. Au son de cette voix  connue et aimée, les fillettes se            retournèrent. Quel étrange  spectacle ! La peau de         l’ours  tombait   lentement et, sur le  pelage qui         faisait un tapis, se  dressait   un bel homme tout  d’or         vêtu. -Je suis fils de roi,   expliqua-t-il. Ce maudit  nain         m’a jeté  un sort en volant mes   trésors.         J’étais  condamné à courir les  bois sous la forme           d’un ours sauvage  jusqu'à ce que sa mort  me         délivrât. Il a   reçu le châtiment  qu’il méritait          ...         Blanche-Rose           épousa le  prince et Rose-Rouge, le  frère du prince. Ils           partagèrent  l’immense trésor que le nain  avait         amassé et   vécurent ainsi  dans l’opulence. Leur          maman devenue vieille, fut   invitée à  venir vivre au         milieu  de ses enfants et   petits-enfants. On  transplanta         dans le  jardin du palais royal   les deux rosiers  qui         avaient vu  grandir les fillettes et ils   donnèrent des          roses plus belles  d’année en année.   <div style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_bCfJ4pAotxOntlRdvj65LR2a2Cgm3uvT6CnQlFHe5w2XJ89_O4Lp1WUCVLpdwdNO-uVFZNtqfo5m79yrlHEPqOzLC-tnjihMVywoiKREgzGOat5KRSzm_mzdfHERlVEkcjAnknNxVi4/s1600/037.JPG"><img style="cursor: pointer; width: 240px; height: 320px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_bCfJ4pAotxOntlRdvj65LR2a2Cgm3uvT6CnQlFHe5w2XJ89_O4Lp1WUCVLpdwdNO-uVFZNtqfo5m79yrlHEPqOzLC-tnjihMVywoiKREgzGOat5KRSzm_mzdfHERlVEkcjAnknNxVi4/s320/037.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516076290585616946" border="0" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijfpfbXVnOvbwBmm3-DtIH64biCArF8TkohRre3AvCZDRkra7u8uPzYLNTxRZPkh28QNb-qslHEPrNOdU6Oqb5zQW2aSWhClBwBK3Z-Amp64dcKYd8YieIUUSDws3yVL0vQjwhUN7BhgY/s1600/040.JPG"><img style="cursor: pointer; width: 240px; height: 320px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijfpfbXVnOvbwBmm3-DtIH64biCArF8TkohRre3AvCZDRkra7u8uPzYLNTxRZPkh28QNb-qslHEPrNOdU6Oqb5zQW2aSWhClBwBK3Z-Amp64dcKYd8YieIUUSDws3yVL0vQjwhUN7BhgY/s320/040.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516076299789860194" border="0" /></a> </div> <a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e)  {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoh7atC9TCNDsu2bkuA7WDfgwoZV-bc7GJ6zkO95fmmEXCvh5LkHHgd5iWuOfwF6NkDrQD7sgxj_AHlTEkS_BqrqCKw-5KXP5HPPoSY9t0oOK92sds2RsCQSCM8NA6i_zU71GitvtgwSc/s1600/045.JPG"><img style="display: block; margin: 0px auto 10px; text-align: center;  cursor: pointer; width: 300px; height: 400px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoh7atC9TCNDsu2bkuA7WDfgwoZV-bc7GJ6zkO95fmmEXCvh5LkHHgd5iWuOfwF6NkDrQD7sgxj_AHlTEkS_BqrqCKw-5KXP5HPPoSY9t0oOK92sds2RsCQSCM8NA6i_zU71GitvtgwSc/s400/045.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516075715249482978" border="0" /></a> <a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e)  {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSO7BRXccXf0yFymUOxADPvuDvAp3goP7dV_XvX3oenFPVm5QNihSPL3HLJ_g9OJN5M-5TGp7LV464pwki_dcFGyK4fbTMjBJHknYH6YlrxAY5dfDEtD_jzenahZIY56lRjclI0x_2kaU/s1600/057R.jpg"><img style="display: block; margin: 0px auto 10px; text-align: center;  cursor: pointer; width: 400px; height: 378px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSO7BRXccXf0yFymUOxADPvuDvAp3goP7dV_XvX3oenFPVm5QNihSPL3HLJ_g9OJN5M-5TGp7LV464pwki_dcFGyK4fbTMjBJHknYH6YlrxAY5dfDEtD_jzenahZIY56lRjclI0x_2kaU/s400/057R.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516074486196966754" border="0" /></a> <div style="text-align: center;"><a onblur="try  {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZUnyelobtWozokfIOV_iFPFypVKOSFl75vTDcdOifMEEI-KScDGwb2bOt_KB3VlBdCCkEyXlg0NukzU6ERstVbhWoBOrQ2ERV5gsf7TnTk6WAYVf9C1L-fZmfWdQI4NCPXlw9Gd8wyKg/s1600/090.JPG"><img style="cursor: pointer; width: 275px; height: 207px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZUnyelobtWozokfIOV_iFPFypVKOSFl75vTDcdOifMEEI-KScDGwb2bOt_KB3VlBdCCkEyXlg0NukzU6ERstVbhWoBOrQ2ERV5gsf7TnTk6WAYVf9C1L-fZmfWdQI4NCPXlw9Gd8wyKg/s320/090.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516072343104755986" border="0" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0QIt52TDvk4Cmq8vfhFXXgflx_2KAsq4oJ1EpMTRoUT24IqMB_7ycoOV99UrajqI7hA3p2ApZihHGtUqufX_KeCYbycnOxnbWAiX5US2xhUYeqGnL_DnrlOylpFrvYtuFWk7IzTuLDME/s1600/088.JPG"><img style="cursor: pointer; width: 276px; height: 207px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0QIt52TDvk4Cmq8vfhFXXgflx_2KAsq4oJ1EpMTRoUT24IqMB_7ycoOV99UrajqI7hA3p2ApZihHGtUqufX_KeCYbycnOxnbWAiX5US2xhUYeqGnL_DnrlOylpFrvYtuFWk7IzTuLDME/s320/088.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5516072331440437490" border="0" /></a> </div> Il était une fois deux magnifiques jeunes filles prénommées Blanche-Rose  et Rose-Rouge...   Une veuve vivait dans une maison         coquette   avec ses deux filles  qu’elle avait         prénommées Blanche-Rose et   Rose-Rouge parce          qu’elles ressemblaient aux boutons des deux   rosiers          sauvages, l’un blanc, l’autre rouge, qui           croissaient en son  jardin.Blanche-Rose         et Rose-Rouge étaient des   enfants bonnes,  sages,         travailleuses et vaillantes ; elles   s’aimaient          de tout leur cœur. Quand Blanche-Rose           murmurait : " Nous nous          aimerons ", Rose-Rouge répondait :           " Toute notre vie "  et leur mère         ajoutait : " Ce que l’une   aura, elle         le  partagera avec l’autre ".         Ensemble,           elles allaient au  petit bois cueillir des fraises ;         les   animaux de la forêt les  connaissaient bien. Le         lièvre venait en   boule rouler à leurs  pieds et         grignoter la carotte qu’elles lui   avaient          apportées. Les cerfs les égayaient de leurs           bondissements  majestueux et les oiseaux, au faîte des         arbres,   pépiaient et  chantaient à gorge déployée.         Quand elles   s’attardaient dans la  forêt et que la         nuit les surprenait, elles   couchaient l’une  contre         l’autre sur la mousse odorante, et            s’endormaient jusqu’au matin. Leur mère ne se         faisait pas  de   souci car elle savait qu’elles ne         risquaient rien.            Blanche-Rose         et Rose-Rouge aimaient tant leur maison qu’elles la            soignaient à longueur de journée. A la saison         d’été,    Rose-Rouge faisait le ménage et déposait         tous les matins,  avant   que sa mère ne se réveillât, un         bouquet de roses  blanches et de   roses rouges. A la saison         d’hiver, c’était  Blanche-Rose qui   entretenait         l’âtre où brillait la marmite de  cuivre pendue à           la crémaillère.         Or,         un soir  d’hiver : - Blanche-Rose, va mettre le verrou, dit la maman. Puis elles s’assit près de la cheminée, mit ses         lunettes   et  commença un conte. Les fillettes écoutaient         en filant. A   leurs  pieds, un mouton, la tête entre les         pattes, se chauffait,   et  les colombes sur leur perchoir         roucoulaient encore un peu    avant de mettre la tête sous         l’aile.         Tout         à    coup, on frappa à la porte. - Va vite ouvrir, Rose-Rouge, dit la mère ; un         homme, peut-être,  veut s’abriter. Rose-Rouge tira le verrou, et un gros ours brun passa la           tête  dans l’entrebâillement de la porte.         Rose-Rouge affolée, se    jeta derrière le fauteuil de sa         mère et Blanche-Rose se cacha    derrière le lit. Le         mouton était paralysé de terreur, et les    colombes         voletaient de tous les côtés. - Que craignez-vous ? Je ne veux de mal à personne,         j’ai surtout  si froid ... - Viens, mon pauvre ours, dit la mère. Viens te coucher           près  du feu. Blanche-Rose et Rose-Rouge, sortez de vos           cachettes,  petites peureuses.         Les         deux fillettes,   tranquillisées,  s’approchèrent. Le         moutons et les colombes aussi   ... - Chères enfants, retirez-moi cette neige de ma         fourrure. Avec une brosse, elles lissèrent le pelage épais du         gros   ours  brun qui s’étendit devant l’âtre en         grognant de plaisir.   Ayant  perdu toute peur et toute         timidité, elles s’amusèrent à    l’envi avec         leur nouvel ami. Il était lourd et pataud. Elles lui            tiraient les poils, enfonçaient leurs petites mains dans            la fourrure chaude comme un nid, ou bien, avec une          baguette,   le taquinaient. De temps en temps,         lorsqu’elles  allaient un  peu  trop fort et partaient         d’un grand éclat de  rire, il  grognait : - Blanche-Rose, Rose-Rouge, ne tuez pas votre fiancé. L’heure du coucher sonna à la vieille         horloge ; les deux    enfants s’en allèrent au         lit sagement. La man dit à l’ours : - Reste là si tu veux, près du feu. Il fait trop froid           dehors.          A         l’aurore, il s’en retourna dans les bois            d’où il était venu. Les jours qui suivirent,         ponctuellement,    l’ours revint au logis. Les         fillettes ne fermaient plus la   porte  avant qu’il ne         fût revenu se coucher devant l’âtre où il   jouait          avec elles des heures durant.         Quand         le    printemps reverdit toutes les plantes, tous les         arbres, l’ours    dit adieu à ses amies pour aller         vivre tout l’été dans la  forêt. - Mais pourquoi donc ? s’étonna Blanche-Rose. - Pour empêcher que les méchants nains ne volent mon           trésor.  L’hiver, la terre est gelée, les nains ne         peuvent sortir   des  profondeurs de leurs grottes. Au         printemps, le soleil    réchauffe et dégèle le sol. Ils         vont sortir, venir me piller, et    ce qu’ils         dérobent, on ne le retrouve jamais. Blanche-Rose et Rose-Rouge se résignèrent à leur         chagrin. En    passant dans l’ouverture de la porte,         l’ours accrocha au loquet    un morceau de son pelage.         Blanche-Rose crut voir briller sous   la  peau l’éclat         de l’or, mais l’ours s’enfuit ...           Quelques          semaines après, tandis que les fillettes allaient            ramasser du petit bois dans la forêt, elles         rencontrèrent,   sur  un arbre abattu, un nain tout ridé         dont la longue barbe   blanche  était prise dans une fente.         Il sautait de droite et de   gauche  sans pouvoir se tirer         de ce mauvais pas. - Pourquoi me regarder de la sorte ? vous feriez         mieux de  m’aider, lança-t-il aux fillettes. - Que fais-tu là ? répliqua Rose-Rouge. - Sotte que tu es ! Curieuse ! En coupant du         bois en très    petits morceaux, j’ai coincé ma belle         barbe. Me voilà bien pris   !  Je ne peux plus         m’en aller ! Cela vous fait rire, visages de            cire ! Fi donc ! Comme vous êtes         vilaines ! - Je cours chercher de l’aide, s’exclama         Rose-Rouge. - Tête de linotte ! grogna le nain.         N’êtes-vous pas assez  grandes pour me tirer de         là ? - Prenez patience, dit Blanche-Rose en fouillant dans ses          poches. Elle exhiba une paire de ciseaux et se mit à couper le         bout de  la barbe. A peine libéré, le nain prit le sac caché entre les         racines de  l’arbre et ronchonna : - Qu’elles sont stupides ! Avoir coupé ma si         belle barbe ! Il jeta le sac sur ses épaules et s’en alla sans un         mot de    remerciement.         A         quelque temps de là, les deux  fillettes   voulurent         pêcher des poissons. Elles allaient  s’installer           près du ruisseau, quand, sur la rive, elles  aperçurent,          qui  sautait dans tous les sens, une sorte de grosse           sauterelle. En  s’approchant, elles reconnurent le          nain.  Rose-Rouge, étonnée le  questionna : - Veux-tu sauter dans le ruisseau ? - Sotte, je ne suis pas si bête. Mais voyez ce poisson         de  malheur ... Le nain en pêchant avait pris sa barbe dans la         ligne ; un    poisson énorme pris l’hameçon         allait entraîner la faible    créature qui n’avait         pas la force suffisante pour se tirer    d’affaire. Il         se cramponnait à toutes le tiges, à tous les brins            d’osier, mais il ne pouvait plus lutter. Barbe et         fil    étaient si entremêlés que la seule solution était         de couper  un   peu plus la belle barbe blanche. Libéré,         le nain s’écria : - Mes pauvres filles, vous êtes toujours aussi sottes et         laides ;  me voilà dans un bel état ! Puis, ramassant un sac de perles fines dissimulé dans         les    roseaux, il disparut derrière une pierre.         Quelques           jours  passèrent. La maman eut besoin de fil,         d’aiguilles, de    dentelles et de rubans ; elle         envoya ses filles à la ville, chez    la mercière. Le         chemin qu’elles devaient prendre passait par    une         clairière semée de rochers. Comme elles            l’atteignaient, les fillettes virent dans le ciel un         grand    oiseau qui tournoyait lentement, dans un long vol         plané.    Soudain, il s’abattit sur le sol. Elles         entendirent un cri de    douleur. S’étant approchées, elles reconnurent avec effroi           leur vieille  rencontre, le nain, qu’un aigle avait         saisir   dans ses serres  et allait emporter.         Courageusement, les deux   enfants se  saisirent d’un         bâton et se précipitèrent à son   secours. Elles  se         battirent tant et tant pour arracher le petit   homme aux          serres de l’oiseau qu’à la fin, elles           vainquirent. Tout juste remis de sa peur, le nain glapit : - Vous avez déchiré mon bel habit. Vous êtes toujours         aussi    sottes et maladroites, et toujours aussi laides,         tout juste    bonnes pour aller au diable ! Chargeant alors sur son dos un   sac de pierres précieuses         qui  se trouvait derrière un gros   rocher, il se faufila         dans une  crevasse ouverte dans le sol.Les   fillettes,         habituées à cette  ingratitude, ne s’émurent pas           outre mesure, et continuèrent  leur chemin jusqu'à la         ville.           Le         soir, en  revenant, elles prirent le même sentier           qu’au matin ; elles  surprirent le nain en         contemplation   devant les pierres  précieuses qu’il         avait vidées de son sac et   qui éclataient de  mille feux         aux lueurs du couchant.   Emerveillées, elles          s’arrêtèrent : -Vous ne savez que bayer aux corneilles,         décidément ! jeta le  nain, tout rouge. Partez         d’ici ! Et, tandis qu’il criait sa colère, un grand ours         brun sortit  pesamment des buissons. Le nain, fou de terreur, fit un saut en arrière en         hurlant : - Monsieur l’ours, laissez-moi la vie ; je vous         donne   toutes  ces pierres précieuses. Je suis tout petit,         si chétif.   Voyez  ces deux fillettes, grasses comme des         oies. Elles feront   bien  mieux votre affaire.         D’un         seul coup de patte, sans    autre forme de procès,         l’ours supprima le méchant nain pour    toujours. Les         deux sœurs affolées allaient s’enfuir quand            l’ours murmura :  - Blanche-Rose, Rose-Rouge, je suis votre ami. Au son de cette voix connue et aimée, les fillettes se            retournèrent. Quel étrange spectacle ! La peau de         l’ours tombait    lentement et, sur le pelage qui         faisait un tapis, se dressait    un bel homme tout d’or         vêtu. -Je suis fils de roi,   expliqua-t-il. Ce maudit nain         m’a jeté  un sort en volant mes   trésors.         J’étais condamné à courir les  bois sous la forme           d’un ours sauvage jusqu'à ce que sa mort me          délivrât. Il a   reçu le châtiment qu’il méritait         ...          Blanche-Rose           épousa le prince et Rose-Rouge, le frère  du prince. Ils           partagèrent l’immense trésor que le nain avait          amassé et   vécurent ainsi dans l’opulence. Leur         maman  devenue vieille, fut   invitée à venir vivre au         milieu de ses  enfants et   petits-enfants. On transplanta         dans le jardin du  palais royal   les deux rosiers qui         avaient vu grandir les  fillettes et ils   donnèrent des         roses plus belles d’année en  année.

Il était une fois deux magnifiques jeunes filles
prénommées Blanche-Rose et Rose-Rouge
qui vivaient dans une maison coquette près de la forêt.
Tout n'était qu'amour et bonheur...
elles passaient leur temps au bois pour cueillir des fraises,
des champignons en forêt en compagnie de leurs amis les animaux.
Un soir, quelqu'un frappa à la porte de leur maison et un magnifique ours brun demanda à entrer et elles lui offrit l'hospitalité sans aucune crainte.
Elles le chouchoutèrent riant et jouant avec lui
mais avec le retour du printemps Ours Brun dit adieu à ses amies
et retourna en forêt pour empêcher les méchants nains de voler son trésor.
Elles se résignèrent à le laisser partir.
Un jour, elles rencontrèrent un nain tout ridé,
coincé sous une branche,
avec une longue barbe blanche qui leur cria de l'aider -
elle lui coupèrent une partie de la barbe et il en fût très mécontent.
Celui-ci partit en courant sans un mot de remerciement en jetant sur ses épaules un petit sac...
La même scène se renouvela une autre fois
et elles virent le petit homme entre les griffes d'un grand oiseau
et une nouvelle fois,
elles le libérèrent en lui coupant une autre partie de sa barbe blanche...
Elles ne reçurent qu'ingratitude et colère de la part du nain...
et en se cachant aperçurent le nain devant un sac de pierres précieuses éclatant de mille feux...
Il leur cria de partir très en colère -
et celles-ci très apeurées furent sauvées par Ours Brun qui les reconnût
et d'un seul coup de patte, sans autre forme de procès,
supprima le méchant nain pour toujours et les rassura.

Celles-ci reconnurent immédiatement leur ami qui ôta alors son pelage pour se transformer en un magnifique prince charmant tout d’or vêtu.

Je suis fils de roi, leur expliqua-t-il
et ce maudit nain m’a jeté un sort en volant mes trésors.
J’étais condamné à courir les bois sous la forme d’un ours sauvage
jusqu'à ce que sa mort me délivrât.
Il a reçu le châtiment qu’il méritait...

Blanche-Rose épousa le prince et Rose-Rouge, le frère du prince.
Ils partagèrent l’immense trésor que le nain avait amassé
et vécurent ainsi dans l’opulence.

On transplanta dans le jardin du palais royal les deux rosiers
qui avaient vu grandir les fillettes et
ils donnèrent des roses plus belles d’année en année.

J'ai dressé ma table dans le jardin, profitant d'une magnifique journée de soleil,
mais la luminosité étant très forte,
certaines photos sont un peu floues.

Merci Dom pour ce magnifique défi,
je me suis régalée - un joli retour en enfance.

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27 Vos petits mots d'amitié:

lespassionsdecriquette a dit…: coucou Lylou,

le genre de contes que j'adore ou tout est bien qui fini bien. Quel beau soleil en plus sur ta table.... elle est tres douce cette table au jardin sous le souleil de l'été indien !!!

bises
criquette; 13 sept. 2010, 15:22:00
Anonyme a dit…: Quelle luminosité magnifique ! Une journée d'été comme on en rêve encore !
Bravo cette déco est enchanteresse !
Fred - fredecoandco.canalblog.com; 13 sept. 2010, 17:50:00
Anonyme a dit…: coucou Lylou,
très jolie ta table..
Je suis inscrite à ta news et j'ai pas reçu de mail me prévenant que tu l'avais mise sur ton blog ...
Te feis de gros bisous
josiane; 13 sept. 2010, 18:48:00
Isa H. a dit…: Vraiment beau ce conte. On se prend à rêver et au fil du récit on se prend au jeu et on en veut encore encore et encore comme quand nous étions enfant.
Merci Lylou pour cette belle table avec toutes ces roses et aussi avec de très beau coussins d'assiettes.
Bonne soirée
Bisous de Rose rouge et blanc.
Isa H.; 13 sept. 2010, 19:39:00
vivie a dit…: Oh non au contraire je la trouve sublime ta table dans les rayons du soleil qui rende encore plus lumineux le rouge. Bravo encore une fois. Bizzz et douce soirée; 13 sept. 2010, 21:37:00
flo a dit…: Je la trouve superbe ta table!!
Beaucoup de poésie, une table de conte de fée et beaucoup de magie!!
Emerveille nous encore!!
C'est ce que je demande!
Douce soirée
Bisous
Flo; 13 sept. 2010, 21:57:00
Anonyme a dit…: Vraiment un très beau conte et une superbe table, un petit clin d'oeil pour ces jolies roses que j'adore ! milles bravos ! c'est vraiment très réussi et sous le soleil de l'été indien, c'est vraiment magnifique ! bisous claudia; 13 sept. 2010, 21:58:00
Mélanie Décor' a dit…: et nous on c'est régaler!!!Ton comte est merveilleux et ta table sublime et le soleil c'est invité pour notre plus grand plaisir!!!
Gros bisous; 13 sept. 2010, 22:16:00
pat a dit…: une très jolie histoire qui fini bien
illustrée par une table splendide !!!!!!
toute rouge passion
marié au blanc pureté
avec la touche de vert tendre éblouissant

j'adore

c'est tout raffiné, tout délicat, tout recherché

j'adore tes superbes verres

tu as très très brillament relevé ce défi

gros bisous
pat; 13 sept. 2010, 22:49:00
Anonyme a dit…: Jolie table , joli comte , bravo Lylou encore une belle résussite
Belle journée
Bisous
Béa; 14 sept. 2010, 07:23:00
Anonyme a dit…: coucou ma Lylou une table magnifique pour un magnifique conte !!! tu as su nous surprendre et sortir des sentiers battus , j'adore !!! je t'embrasse bien fort et te dis à très bientôt , gros bisous de Mr Tatie Boulette et de mes parents très touchés que tu aies pensé à eux !! manuela; 14 sept. 2010, 08:46:00
Mordue de déco a dit…: Ho Lylou , que d'émerveillement !!Superbe histoire , superbe table !!!Tout est parfait !!Ta carafe rouge et or et tout simplement magnifique !!!!Bravo , une table d'exception !!Gros bisous à toi et à trés vite !!
Nathalie; 14 sept. 2010, 13:47:00
mariellen a dit…: très jolie table d'été avec des couleurs que j'aime, bisous Lylou, mariellen; 14 sept. 2010, 21:16:00
Anonyme a dit…: coucou Lylou - j'ai adoré ce beau moment de conte bien illustrée par ta magnifique table - bravo ma belle - bisous fleuris - bonne soirée
Escargotine; 14 sept. 2010, 22:44:00
BREE a dit…: superbe !
j'adore les carreaux rouge et blancs
merci pour ce plaisir des yeux !
et ce beau partage
bise
BREE; 15 sept. 2010, 00:39:00
coriandre-et-cie a dit…: et nous avec ... nous y sommes retombées ... sans même broncher !!! merci ma lylou pour cette belle table ... et ces petits anges ... ohhhhh; 15 sept. 2010, 08:40:00
Anonyme a dit…: coucou lylou ta table est sublime
avec un jolie comte.merci pour tes passage sur mon blog c'est un plaisir de te lire.passe une bonne journnée gros bisous cricri.; 15 sept. 2010, 09:04:00
jeanne & co a dit…: bonjour lylou,
sublime ta table un petit retour en enfance me ravie
je te souhaite une douce et bonne journée
jeanne & co; 15 sept. 2010, 14:07:00
nath a dit…: bravo lylou tres tres tres jolie table je ladore bravo gros bisous bout-de-zan; 15 sept. 2010, 14:13:00
Anonyme a dit…: magnifique conte ...bien mis en valeur par tes très beaux objets !
bonne fin de semaine
isa56; 15 sept. 2010, 17:32:00
Anonyme a dit…: hier mon message n'a passé ,alors je reviens pour te dire que j'aime beaucoup cette table ,pour son coté chic ,pour la couleur,et aussi pour les verres que je trouve superbes,bisous,monique; 16 sept. 2010, 10:05:00
Anonyme a dit…: ah que cette table est jolie je te soiuhaite bonne chance et pour te dire j'ai fait hier 4 pots de ta gelée de raisin rouge et je peux te dire que'elle est super a tel point que mon infirmière m'a de suite (chipé) un pot hihi, bonne journée , biz THESI; 16 sept. 2010, 16:25:00
misscook a dit…: Zolie, zolie , zolie table!!
J'ai adoré les petit coussin et tu me donnes une idée avec l'introduction de flacon de parfum, moi qui les range bêtement dans une boite au sous sol, ils peuvent très bien servir sue les tables !!Bravo Lylou et merci pour tes passages sur mes blogs.Bises; 16 sept. 2010, 16:37:00
misscook a dit…: les petits coussins!!!; 16 sept. 2010, 16:37:00
Autourdemoncoeur a dit…: J'aime beaucoup cette idée de compte raconté sur une jolie table. Le fait qu'elle soit illuminée par le soleil, j'adore vraiment, c'est très beau !
Bravo cette magnifique participation.
Je profite qu'internet fonctionne à peu près bien ce matin...
Bisous. Sandrine; 17 sept. 2010, 09:37:00
Autourdemoncoeur a dit…: J'aime beaucoup cette idée de compte raconté sur une jolie table. Le fait qu'elle soit illuminée par le soleil, j'adore vraiment, c'est très beau !
Bravo cette magnifique participation.
Je profite qu'internet fonctionne à peu près bien ce matin...
Bisous. Sandrine; 17 sept. 2010, 09:37:00
k-art-table a dit…: Encore une très jolie table made in Lylou !!!
Elle est parfaite et se marie parfaitement avec ton conte.
Bizzz; 17 sept. 2010, 20:48:00

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